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Jaussen:
"A une certaine saison, on amassait des vivres, on faissait fête. On
emmaillottait un corail, pierre de defunt lézard, on l'enterrait,
tanu. Cette cérémonie était un point de départ pour beaucoup
d'affaires, notamment de vacances pour le chant des tablettes ou de la
prière, tanu i te tau moko o tana pure, enterrer la pierre
sépulcrale du lézard de sa prière." |